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  • Renault Rafale : le nouveau visage de la mobilité présidentielle pour le 14 juillet

    Renault Rafale : le nouveau visage de la mobilité présidentielle pour le 14 juillet

    Paris, 14 juillet — C’est officiel : le Président de la République ouvre aujourd’hui le défilé du 14 juillet à bord du Renault Rafale, symbole d’un retour emblématique de la marque au losange au garage de l’Élysée. Ce choix marque une nouvelle étape dans l’histoire de l’automobile française.

    Renault Rafale voiture présidentielle officielle lors du défilé du 14 juillet 2024
    Le Renault Rafale, véhicule officiel du Président de la République pour le défilé du 14 juillet 2024 à Paris.

    Un retour aux sources avec prestige

    Pour la première fois depuis 2012, c’est un véhicule Renault qui est employé comme voiture officielle du chef de l’État, prenant la succession de la DS 7 Crossback Élysée. Ce retour renforce l’ancrage historique de Renault auprès des présidents depuis la Renault 40 CV en 1920. Cette version présidentielle arbore une carrosserie bleu sombre spécifique, une calandre tricolore et un blindage conforme aux normes de sécurité de l’Élysée.

    Motorisation hybride performante et efficiente

    Basé sur la plateforme CMF‑CD, le Rafale propose deux motorisations E‑Tech. La version de 200 ch en traction associe un moteur essence 1,2 L turbo à deux moteurs électriques pour une puissance combinée de 200 ch, un couple de 410 Nm, un 0‑100 km/h en 8,9 s, une consommation de 4,7 à 5,0 L/100 km et des émissions d’environ 105 g/km de CO₂.

    La version hybride rechargeable E‑Tech 4×4 de 300 ch combine un deuxième moteur électrique sur l’essieu arrière et une batterie de 22 kWh, permettant jusqu’à 105 km d’autonomie 100 % électrique, 1 000 km d’autonomie totale, un 0‑100 km/h en 6,4 s, une consommation mixte extrêmement basse (~0,5‑0,9 L/100 km) et des émissions de 15‑19 g/km CO₂.

    Un intérieur technologique et responsable

    L’habitacle est moderne et connecté, doté d’un double écran OpenR Link de 12  » (instrumentation + infodivertissement), Android Automotive avec Google Maps et assistant vocal. Le système inclut des aides à la conduite comme la conduite semi‑autonome de niveau 2, le régulateur adaptatif et le système 4Control advanced avec suspension pilotée pour un confort maximal.

    Des options comme le toit panoramique opacifiant Solarbay®, les sièges Esprit Alpine, les jantes 21″ et la finition de luxe Alpine complètent l’expérience premium.

    Une image politique forte

    Le choix du Renault Rafale comme voiture présidentielle affirme clairement la volonté de promouvoir l’industrie automobile française, en alliant prestige, innovation et engagement écologique. Ce véhicule présidentiel devient le reflet d’une République moderne, soucieuse de son image, tournée vers l’avenir et respectueuse de ses engagements environnementaux.

  • Robotaxis Tesla : extension du service à Austin malgré les défis

    Robotaxis Tesla : extension du service à Austin malgré les défis

    Tesla a annoncé l’extension de sa zone d’exploitation pour les robotaxis à Austin (Texas), poursuivant ainsi son offensive dans le domaine des véhicules autonomes. Cette décision s’inscrit dans un contexte de baisse des ventes mondiales et de renforcement de la concurrence sur le marché de l’électromobilité.

    Robotaxi Tesla Model Y circulant à Austin, Texas
    Crédit : Eric Gay / AP

    Une extension des robotaxis confirmée à Austin

    Selon le Austin American-Statesman, Elon Musk a déclaré que Tesla allait élargir la zone géographique desservie par ses robotaxis dans la ville d’Austin. Le service, initialement limité à un périmètre restreint depuis le 22 juin 2025, va couvrir une zone plus vaste dans les jours à venir. Pour l’heure, les véhicules continuent de circuler avec un conducteur de sécurité à bord, conformément à la réglementation locale.

    Une réponse à une conjoncture difficile

    Cette annonce intervient alors que Tesla fait face à une baisse de ses livraisons mondiales. L’entreprise a vendu 384 122 véhicules au deuxième trimestre 2025, soit un recul de 13,5 % par rapport à la même période de l’an dernier.

    Malgré ce contexte, le marché a réagi positivement à l’annonce de l’expansion des robotaxis. Le titre Tesla a enregistré une hausse de 4,7 % à la Bourse après la déclaration d’Elon Musk.

    Une intégration du chatbot Grok sous surveillance

    En parallèle, Musk a confirmé que Tesla prévoit d’intégrer prochainement le chatbot Grok, développé par la société xAI, dans ses véhicules. Cette fonctionnalité sera disponible avec la prochaine mise à jour des systèmes embarqués.

    Robotaxi Tesla Model Y circulant à Austin, Texas
    Crédit : Eli Hartman/Getty Images

    Cependant, l’intégration de Grok soulève des interrogations. Des utilisateurs ont relevé des réponses inappropriées produites par le chatbot dans certaines situations. L’entreprise n’a pas détaillé les mesures prévues pour encadrer cette intégration.

    Un encadrement réglementaire toujours strict pour les robotaxis

    Le développement des robotaxis aux États-Unis reste encadré par une réglementation stricte. Depuis les incidents ayant impliqué la société Cruise (filiale de General Motors) en 2023, plusieurs États, dont la Californie, ont durci les conditions d’expérimentation des véhicules autonomes. Tesla, qui n’a pas encore obtenu de permis d’exploitation sans conducteur de sécurité, reste surveillée de près par les régulateurs locaux.

  • Le Porsche Cayenne Electric n’est même pas encore lancé qu’il bat déjà des records ! 

    Le Porsche Cayenne Electric n’est même pas encore lancé qu’il bat déjà des records ! 

    Porsche travaille toujours sur le très attendu Cayenne Electric, qui, comme son nom l’indique, sera la déclinaison 100 % électrique du best-seller et SUV iconique de la firme allemande. Mais alors qu’il est encore “camouflé” et loin d’être lancé sur nos routes, il se paye déjà le luxe de démontrer sa puissance en course ! 

    Le constructeur allemand, dont le passage électrique a été salué, notamment grâce au très réussi Taycan, prévoit de frapper un grand coup avec la version 100 % électrique du SUV qui a sauvé la maison, véritable best-seller, le bien nommé Cayenne Electric. Et, à modèle très attendu : teasing exceptionnel. Peu importe le domaine, Porsche ne fait jamais les choses à moitié et ça vaut également pour les démonstrations du Cayenne aux watts qui a fait ses premiers tours de piste officiels, encore sous sa livrée camouflage, sur le tracé de Shelsley Walsh. Au cœur du Worcestershire, il s’agit d’une course de côte d’un peu moins d’un kilomètre dont la pente atteint jusqu’à 16,7 %. 

    Rude et technique, c’est un parcours qui ne pardonne rien. Pas de quoi effrayer Gabriela Jílková, pilote de développement pour la TAG Heuer Porsche Formula E Team qui a réalisé, dès sa première tentative, un temps de 31,28 secondes, soit quatre de moins que le précédent record de la catégorie SUV. Terrifiant. Plus fort encore, elle a atteint le premier checkpoint placé à 18,3 mètres en 1,94 seconde, soit un temps équivalent à certaines monoplaces. Tout ça avec des pneus été aux pieds. Pour vous donner une idée, c’est comme battre Usain Bolt sur 100 mètres avec des Converse. 

    Un nouveau châssis pour le Porsche Cayenne Electric

    Selon Porsche, l’atout n°1 du Cayenne Electric c’est le système de réglage actif du châssis Porsche Active Ride, combinaison d’un système de suspension active et d’un châssis totalement remanié. Il permet en effet de régler en temps réel à la fois à la hauteur, mais aussi la stabilité de la voiture. Cela peut s’avérer très pratique lors de lourds freinages, d’accélérations franches et de virages acérés. Autant d’événements qui sont notamment légion à… Shelsley Walsh !  

    Celle qui en parle le mieux, c’est encore la pilote Gabriela Jílková : « Le parcours exigeant ne pardonne aucune erreur. Il n’y a aucune zone de dégagement, la marge de manœuvre est donc étroite. Mais le réglage actif du châssis confère au nouveau Cayenne une remarquable stabilité et une précision hors pair. La voiture permet de tirer des trajectoires au cordeau. » Un système qui ne sera pas réservé à ce prototype camouflé, mais que l’on retrouvera bien sur le modèle de série. 

    Gabriela Jílková pilote porsche

    Mais le Cayenne est un SUV et, de fait, il doit être utilitaire (le “U” dans SUV). Aucun problème sur ce point puisque Richard Hammond, bien connu des fans de Top Gear, a eu la chance de conduire le Porsche Cayenne Electric en avant-première lors d’un tournage. Le sujet ? Le transport d’un véhicule de collection de plus de deux tonnes par… le Cayenne justement ! L’occasion, pour Porsche, d’avancer que son Cayenne électrique sera capable de tracter jusqu’à 3,5 tonnes ! 

    Performances électriques et tenue de gala 

    Si le Cayenne continuera d’être proposé en versions hybrides et thermiques — au moins jusqu’en 2035 et l’interdiction de la vente de véhicules thermiques neufs dans l’Union européenne ? — Porsche affirme que la version électrique atteindra un niveau de performance inédit dans la gamme. Et c’est précisément le responsable de la gamme Cayenne en personne, Michael Schätzle, qui nous le dit : « Nous ne pourrons atteindre le niveau de performance démontré publiquement pour la première fois en Angleterre qu’en exploitant pleinement le potentiel de l’électrification. Le Cayenne Electric établira de nouvelles références sur son segment, sans le moindre compromis en matière de confort d’utilisation et de praticité au quotidien ».

    Et ce n’est que le début. Après avoir marqué les esprits à Shelsley Walsh, le Cayenne Electric s’apprête à faire une nouvelle apparition publique lors du célèbre Goodwood Festival of Speed, du 10 au 13 juillet prochain. L’événement promet d’être un nouveau tremplin médiatique pour le futur SUV phare de Porsche, avant sa présentation officielle attendue en 2026.

    suv electrique porsche cayenne

    On ne sait rien, ou presque, de lui, mais, plus d’un an avant sa sortie officielle, le Cayenne Electric marque déjà les esprits. Très attendu, il promet d’être l’un des SUV électriques les plus complets du marché faisant aussi bien honneur au “S” qu’au “U” de Sports Utility Vehicle (SUV). Reste désormais à savoir s’il tiendra cette promesse, mais ses performances à Shelsley Walsh donnent déjà un élément de réponse… Une belle revanche, quelques semaines après avoir vu son record battu sur le Nürburgring par Xiaomi.

    porsche cayenne electric
  • Xiaomi YU7 : Un SUV électrique plus ambitieux que Tesla ?

    Xiaomi YU7 : Un SUV électrique plus ambitieux que Tesla ?

    Quelques mois seulement après avoir établi un record du tour sur le circuit du Nürburgring avec la SU7 Ultra (dans sa catégorie), Xiaomi frappe à nouveau dans l’industrie de la voiture électrique. Ce 2 juillet 2025, la marque chinoise lance la commercialisation du Xiaomi YU7 : un SUV électrique sportif aux allures de supercar italienne, conçu pour détrôner les différentes Tesla et BYD déjà bien établies sur le marché.

    Photo du Xiaomi YU7, SUV électrique sportif de Xiaomi en 2025
    Crédit : XIAOMI

    Le Xiaomi YU7 est un SUV électrique aux performances de supercar… décliné en trois versions : Standard, Pro et Max. Le sommet de gamme, Max, est doté de deux moteurs totalisant 690 ch, abat le 0 à 100 km/h en 3,23 secondes et atteint 253 km/h en vitesse de pointe. Des performances qui, comparées à la concurrence, sont sidérantes.

    Côté recharge, ce SUV Xiaomi passe de 10 à 80 % en seulement 12 minutes. Concernant l’autonomie maximale, la marque annonce 760 km CLTC (pour rappel, l’autonomie selon la norme CLTC est souvent optimiste : l’autonomie réelle est généralement inférieure).

    Technique et châssis

    Le YU7 combine : suspensions à double triangulation à l’avant, multi-bras à l’arrière, ainsi qu’un système d’amortissement adaptatif continu (les amortisseurs s’adaptent en temps réel à leur environnement). Sur le papier, tous ces éléments de haute technologie assurent à la fois confort et tenue de route sportive.

    Les freins, fournis par Brembo (à quatre pistons), permettent un freinage de 100 à 0 km/h en seulement 33,9 mètres, ce qui positionne ce YU7 Max parmi les SUV électriques les plus dynamiques du marché.

    Une esthétique venue d’ailleurs…

    Côté design, le YU7 adopte des ailes avant et arrière bombées, soulignant son assise musclée. Les passages de roues sont peints en noir, accentuant sa silhouette haute sur pattes et renforçant l’image d’un SUV premium. Les lignes très fluides de la carrosserie évoquent l’élégance des coupés italiens, à l’image de l’Alfa Romeo Stelvio.

    Intérieur technologique du SUV Xiaomi YU7 version Max
    Crédit : XIAOMI

    Mais ce qui a le plus marqué la rédaction, ce sont les nombreuses similarités avec le Ferrari Purosangue, sorti en 2023. La face avant présente un regard très similaire, une signature lumineuse quasi identique, ainsi que des galbes et flancs frôlant la copie. Cette ressemblance n’a rien d’un hasard : elle témoigne de l’influence persistante des grandes sportives européennes, qui s’impriment désormais dans l’identité visuelle que veut adopter Xiaomi.

    Ambitions commerciales ?

    Xiaomi vise à reproduire le succès de sa berline SU7, écoulée à plus de 258 000 exemplaires depuis mars 2024. Le constructeur chinois a annoncé une capacité annuelle de production de 300 000 unités dans son usine de Pékin. Cette montée en puissance industrielle de Xiaomi vise d’une part à répondre à une demande croissante et d’autre part à s’attaquer frontalement aux segments milieu de gamme et premium, où évoluent les Tesla Model Y ou les différents SUV de chez BYD.

    Le positionnement tarifaire du YU7 Max est également avantageux… Proposé à partir de 39 300 €, même dans sa version la plus aboutie, le SUV de Xiaomi reste moins onéreux que l’entrée de gamme de sa rivale directe, la Tesla Model Y, affichée à 44 990 € hors options. Xiaomi cible une clientèle à la recherche d’un SUV familial sportif et technologique, sans pour autant renoncer à un prix compétitif.

    Record de commandes et délai d’attente exceptionnel

    Le Xiaomi YU7 a confirmé son offensive commerciale dès l’ouverture des réservations : 200 000 précommandes en trois minutes, 289 000 en une heure, puis 240 000 commandes confirmées en seulement 18 heures, bien avant d’atteindre la capacité de production annuelle…

    Vue arrière du Xiaomi YU7 avec ses lignes inspirées des supercars
    Crédit : XIAOMI

    Cette ruée vers ce SUV familial a provoqué des délais de livraison inédits dans l’industrie automobile : entre 56 et 59 semaines pour le modèle Standard et 37 à 40 semaines pour le Max. Ces délais exorbitants ont provoqué une vague de plaintes de la part de clients n’ayant pas été avertis du délai avant versement de l’acompte non remboursable ! (Selon Reuters.)

    Le résultat du lancement du YU7 est clair : des records de commandes et des problèmes pour livrer tous ses acheteurs… Une jolie contrainte lorsqu’il s’agit d’une marque qui, jusqu’à 2021, ne vendait que téléphones et téléviseurs…

  • Bonus écologique : ce qui change à partir du 1ᵉʳ juillet 2025

    Bonus écologique : ce qui change à partir du 1ᵉʳ juillet 2025

    Revalorisation des montants, nouveau système de financement et maintien des critères d’éligibilité : le bonus écologique évolue à compter du 1ᵉʳ juillet 2025. Sans remettre en cause son existence, le gouvernement modifie son architecture pour le rendre plus pérenne, sans puiser davantage dans le budget de l’État. Voici l’essentiel à retenir.

    Bonus écologique 2025 : nouveau financement et montants revalorisés
    Crédit : Taneli Lahtinen

    Un nouveau financeur : les fournisseurs d’énergie à la manœuvre

    Depuis le 1ᵉʳ juillet, le bonus écologique n’est plus financé par l’État, mais via les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE), un dispositif imposant aux fournisseurs d’énergie de contribuer au financement de la transition écologique.

    Selon le ministère de la Transition écologique, ce changement vise à garantir la pérennité du dispositif tout en appliquant le principe du « pollueur-payeur ». L’objectif est aussi de soulager les finances publiques tout en conservant un soutien fort à l’électrification du parc automobile.

    Montants revalorisés pour tous les ménages

    Le bonus est désormais plus généreux pour l’ensemble des foyers, quel que soit leur niveau de revenu fiscal. Une hausse significative concerne même les ménages les plus aisés, qui retrouvent un niveau d’aide comparable à celui de 2023.

    Revenu fiscal de référence par partAvantDepuis le 1ᵉʳ juillet 2025
    Foyers modestes (déciles 1 à 5)4 000 €4 200 €
    Classes moyennes (déciles 6 à 8)3 000 €4 200 €
    Foyers aisés (déciles 9 à 10)2 000 €3 100 €

    La hausse vise à élargir l’accès à l’électrique sans rupture brutale avec les anciens barèmes.

    Critères d’éligibilité inchangés

    Les conditions pour bénéficier du bonus restent identiques. Le véhicule doit être 100 % électrique, affiché à moins de 47 000 € TTC, peser moins de 2,4 tonnes, et obtenir un score environnemental suffisant.

    Ce score pénalise toujours les modèles produits hors d’Europe, notamment les voitures électriques chinoises. Aucun assouplissement n’est prévu pour ces critères.

    Une période transitoire jusqu’au 30 septembre

    Les véhicules commandés avant le 1ᵉʳ juillet 2025 restent éligibles à l’ancien dispositif si la facturation ou le premier loyer intervient avant le 30 septembre.

    Cette mesure vise à éviter un effet couperet pour les acheteurs et à ne pas pénaliser les délais de livraison. Cette période tampon était réclamée par les concessionnaires.

    Le leasing social de retour à la rentrée

    Suspendu début 2025, le leasing social reviendra en septembre. Il permettra à certains ménages modestes de louer un véhicule électrique pour moins de 100 € par mois, sur une durée de trois ans.

    Ce dispositif, relancé en parallèle du nouveau bonus, doit favoriser l’accès à l’électrique pour les foyers à revenus limités.

    Ce qu’il faut retenir

    • Le bonus écologique est désormais financé par les fournisseurs d’énergie via les CEE.
    • Les montants augmentent pour tous les ménages, y compris les plus aisés.
    • Les critères d’éligibilité ne changent pas.
    • Une période transitoire permet de sécuriser les anciennes commandes jusqu’au 30 septembre.
    • Le leasing social fait son retour en septembre pour les foyers modestes, jusqu’en 2030 au moins.
  • Batteries solides : Huawei promet 3 000 km d’autonomie

    Batteries solides : Huawei promet 3 000 km d’autonomie

    L’autonomie est régulièrement citée parmi les arguments des conducteurs réfractaires au passage à l’électrique. Huawei, avec des batteries solides capables de couvrir la même distance que trois pleins de diesel après seulement cinq minutes de recharge, compte bien faire changer les choses.

    Après Xiaomi et ses performances sur le “Nurb”, c’est un autre géant chinois de la téléphonie (et de la tech en général) qui fait grand bruit dans le monde de l’automobile. Huawei vient en effet de déposer un brevet pour une batterie promettant jusqu’à 3 000 kilomètres d’autonomie et une recharge complète en seulement cinq minutes. 

    Cette batterie solide utilise un électrolyte à base de sulfure, auquel on a ajouté de l’azote, permettant, selon la marque, d’atteindre une densité énergétique entre 400 et 500 Wh/kg. C’est deux fois plus que la plupart des batteries lithium-ion, la référence actuelle sur le marché. Qui dit densité énergétique élevée, dit temps de recharge plus court pour des distances plus longues. Beaucoup plus longues. 

    Mais Huawei ne se contente pas de jouer les Heisenberg de la batterie solide. Aux innovations chimiques du brevet s’ajoutent également des innovations structurelles, notamment la fameuse architecture “cell-to-body”. Quand, sur la plupart des véhicules présents sur le marché européen, les batteries sont fixées au châssis, le procédé “cell-to-body” intègre directement les cellules dans le châssis. Si l’on perd en durabilité à cause de réparations plus difficiles, on gagne sur de nombreux points : le poids, la rigidité, l’efficacité.  

    Les batteries solides, un coup de com’ ? Une grande annonce à pondérer 

    Comme dit plus haut, Huawei promet non seulement 3000 kilomètres d’autonomie, mais aussi une recharge complète en cinq minutes. Seulement, il ne suffit pas de brancher sa super batterie solide à la même prise murale que le lave-vaisselle pour y parvenir. Non, pour ça, on devra compter sur des bornes de recharge capables de délivrer, non pas des kilowatts comme c’est le cas actuellement, mais des mégawatts. Pour le moment, ces bornes sont, en plus d’être rarissimes, réservées aux poids lourds. Il faudrait donc revoir tout le réseau actuel, alors qu’il est toujours en construction. 

    Quand bien même, il serait possible, en un claquement de doigts, de transformer toutes les bornes de recharge du monde en super-super-superchargeurs de 2 MW (ce qui serait très mauvais pour la durée de vie des batteries, mais c’est un autre débat), encore faudrait-il pouvoir fabriquer ces batteries solides sous stéroïdes à très grande échelle. Là encore, ça coince. En effet, selon Car News China qui a mis la lumière sur le brevet de Huawei et se base sur les données actuelles concernant les batteries solides, son coût de fabrication oscillerait entre 950 et 1200 € du kilowattheure. C’est presque 10 fois plus qu’une batterie lithium-ion ! 

    Finalement, ces chiffres impressionnants de 3000 km d’autonomie en cinq minutes de recharge sont surtout là pour attirer l’attention sur l’innovation principale : l’azote comme stabilisateur des relations entre l’électrolyte (ici, le sulfure) et l’anode qui, jusque-là, étaient sources de problèmes techniques et de freins au développement des batteries solides. Et Huawei sert ici, comme c’est souvent le cas, de fer de lance technologique à la Chine qui, avec ce nouveau brevet, conforte sa place de leader de l’innovation concernant les batteries solides. Déjà leader sur le marché du lithium-ion, c’est logique que l’Empire du Milieu souhaite continuer de dominer le secteur en misant sur les nouvelles générations de batteries. Et ça semble bien parti car outre Huawei, CATL, BYD, Nio et Xiaomi sont également sur le coup ! 

    huawei batteries solides 5 minutes recharge
  • Lancia Ypsilon HF 2025 : Un coup de massue porté au groupe Renault ?

    Lancia Ypsilon HF 2025 : Un coup de massue porté au groupe Renault ?

    Lancia, dans ses heures de gloire, faisait rêver les amateurs de rallye et de sportives compactes racées. En 2025, presque un an jour pour jour après la sortie de l’Alpine A290 GTS, la marque italienne ressuscite cet ADN sportif avec la dernière venue : la Ypsilon HF, une compacte électrique de 280 chevaux, au design et tempérament bien trempés.

    alt="Vue d'ensemble de la Lancia Ypsilon HF 2025, citadine électrique sportive au design italien"
    Crédit : Lancia

    Pensée pour incarner le renouveau de Lancia dans une ère zéro émission, cette petite nouvelle se positionne comme une réponse directe à une concurrence qui se veut de plus en plus agressive : Alpine A290, Peugeot 208 GTI version électrifiée (début des livraisons d’ici au début de l’année 2026). Le segment des citadines sportives électriques s’anime sérieusement et Lancia souhaite apparemment revenir au premier plan.

    Une batterie partagée, certes, mais une fiche technique bien musclée

    La Lancia Ypsilon HF repose sur la plateforme « e-CMP2 » de Stellantis, qu’elle partage notamment avec les Peugeot e-208, Opel Corsa Electric et Jeep Avenger. Pour rappel, la « plateforme » d’une voiture électrique est comme son squelette. C’est donc : le châssis, l’espace dédié à son/ses moteurs électriques, la disposition de l’habitacle et les branchements électroniques principaux.

    Pour ce qui est de l’autonomie annoncée de cette petite nerveuse : environ 400 km pour la Lancia, contre 378 km pour l’Alpine A290 « standard » et 361 km pour sa déclinaison GTS (source : Alpine Cars France). En termes de puissance de recharge, la Ypsilon HF encaissera au maximum 100 kW, mais cette dernière n’a pas à rougir, car l’Alpine A290 (classique) ne fait pas mieux… (même si sa version GTS peut encaisser une puissance de recharge de 130 kW max).

    alt="Intérieur de la Lancia Ypsilon HF 2025, design signé Cassina avec touches Art déco"
    Crédit : Lancia

    Les + et les – 

    Avec ses 280 chevaux, l’italienne siglée « HF » s’impose comme la citadine électrique à traction la plus puissante du marché. Elle devance ainsi l’Alpine A290 GTS (220 ch) et surclasse largement l’entrée de gamme Alpine (180 ch). Son design soigné et ses détails bicolores lui confèrent une vraie personnalité, une patte esthétique noyée entre élégance italienne et sportivité. Côté tarif, la Ypsilon HF pourrait démarrer autour de 37 000 €, selon Stellantis. Bien en dessous dès 45 000 € que requiert une Peugeot E-208 GTI 2025…

    Côté statistiques, c’est donc un positionnement agressif, mais pas sans compromis. Le comportement routier reste à évaluer : Alpine bénéficie d’un savoir-faire reconnu en matière de châssis, tandis que Lancia n’a pas produit de sportive depuis plusieurs décennies… En outre, la recharge rapide plafonnée à 100 kW reste en retrait face à certaines concurrentes asiatiques mieux armées, comme la « MG4 XPower » de chez MG, capable d’encaisser 140 kW de recharge au maximum — et qui, au passage, fait plus de 430 chevaux…

    Selon Luca Napolitano, PDG de la marque, l’ambition de Lancia est d’atteindre 50 % de ventes hors d’Italie d’ici à 2028, avec une présence dans huit pays européens, dont la France, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne (source : Stellantis Media). Cette montée en gamme s’accompagne d’une refonte complète de l’image de marque : design extérieur inspiré de l’Art déco, partenariat avec Cassina (entreprise designer de mobilier d’intérieur) pour leurs intérieurs, et relance du badge HF, emblème des modèles haute performance de Lancia dans les années 1960 à 1990.

    alt="Détail de la jante et du logo HF sur l'aile avant droite de la Lancia Ypsilon HF 2025"
    Crédit : Lancia

    Du côté de Stellantis, la stratégie est claire : rentabiliser les plateformes partagées, tout en laissant à chaque marque une liberté stylistique et narrative. Peugeot mise sur la rigueur, Opel sur la sobriété allemande, Fiat sur la fantaisie, Lancia sur l’élégance latine. Dans chaque cas, l’objectif est d’avoir un modèle sportif électrique pour séduire les amateurs de sensations, avec tous les styles possibles pour plaire à toute l’Europe.

    Si cette Ypsilon HF s’avère être une vraie bête de la route, cette citadine italienne pourrait bien marquer le véritable retour de Lancia en Europe, et prouver qu’un nom historique peut toujours s’associer avec modernité.

  • En Europe, les ventes de voitures électriques explosent !

    En Europe, les ventes de voitures électriques explosent !

    Les ventes de voitures électriques continuent de progresser vitesse grand V en Europe et 2025 semble bel et bien être une année charnière pour l’électromobilité.

    Selon les dernières données de l’Association des constructeurs européens d’automobiles, les ventes de voitures 100 % électriques (BEV) ont augmenté de 26,4 % entre janvier et avril, atteignant plus de 558 000 immatriculations. Cela représente désormais 15,3 % du marché total des voitures neuves, un chiffre en forte hausse par rapport à l’an dernier. Sur l’ensemble de l’Europe de l’Ouest, la part de marché des véhicules électriques atteint même 18,4  %, contre 14,3  % à la même période en 2024. Concernant les hybrides, on note une augmentation de plus 20,8 % avec comme marché phare la France où l’on constate une augmentation de 44,9 % des ventes sur un an.

    Cette croissance s’explique par un contexte plutôt favorable. En effet, malgré la fin des ZFE en France notamment, les réglementations européennes continuent de maintenir la pression sur les constructeurs pour les obliger à réduire leurs émissions. En parallèle, le catalogue de modèles électriques disponibles sur le Vieux Continent est de plus en plus fourni et avec plus de 160 nouvelles références déjà disponibles ou à venir en 2025, selon le Financial Times. À cela s’ajoutent les différents bonus et réductions toujours en vigueur dans de nombreux pays européens, mais aussi, c’est à noter, un intérêt croissant des clients pour les véhicules électriques et hybrides, plus sobres, certes, mais aussi moins coûteux à l’usage.

    L’Espagne passe la seconde, la France plébiscite Renault

    L’exemple retenu par ECO MOTORS NEWS afin d’illustrer la belle percée des ventes de voitures en Europe en cette première partie d’année 2025, c’est l’Espagne. Un pays qui a mis du temps à s’électrifier, mais dont la dynamique semble définitivement lancée : les ventes de voitures électrifiées ont bondi de 72 % sur les cinq premiers mois de l’année selon Reuters. Une croissance spectaculaire portée par l’arrivée massive de modèles chinois sur le marché : MG a progressé de 87 %, Omoda de 213 % et BYD a vu ses ventes exploser de 745 % !

    En France, ce sont les hybrides qui portent l’électrification du parc, comme vu en intro. Mais, le plus intéressant, c’est surtout de voir le classement des modèles électriques les plus vendus sur le premier trimestre dans l’Hexagone. La Renault 5 E‑Tech, lancée au début de l’année, s’impose largement en tête des ventes de voitures électriques. Elle devançait, fin avril, la Citroën e-C3, et… le Scénic, toujours de chez Renault. Le constructeur français au losange a d’ailleurs repris la première place du classement national des ventes de voitures électriques, avec 16,9 % de parts de marché, devançant Tesla, dont le Model Y se retrouvait relégué à la quatrième place, devant deux modèles Peugeot. On remarque ainsi que le marché français plébiscite Renault en particulier, mais surtout les constructeurs français en général.

    ventes voitures électriques renault 5
    Crédit : Renault

    Ventes de voitures électriques : Tesla commence à partager le gâteau

    On l’a vu, malgré les bons chiffres de vente du marché des véhicules électrifiés, Tesla, longtemps leader incontesté, subit un net ralentissement dans l’ensemble de l’Europe. Le constructeur américain a vu BYD lui damer le pion sur le Vieux Continent. Outre les frasques de son fondateur Elon Musk, certains observateurs expliquent cette chute des ventes par un manque de diversité dans les produits proposés, mais aussi l’électrification du marché qui voit de fait débarquer de plus en plus de modèles électriques (et hybrides) venant concurrencer le géant américain qui reste toutefois bien positionné et dont la mouture 2025 du Model Y est une référence.

    Crédit : Mathis Miroux

    L’année 2025 marque donc un tournant dans le paysage automobile européen. L’électrique s’impose à grande vitesse, d’une part, et, d’autre part, le marché ne ressemble plus à un monopole de Tesla, mais plutôt à une diversification, voire un bouleversement de la hiérarchie des constructeurs en Europe. De son côté, la Renault 5 E‑Tech s’impose comme un symbole de cette transition réussie en France.

  • Xiaomi bouscule Porsche sur le Nürburgring

    Xiaomi bouscule Porsche sur le Nürburgring

    Qui aurait parié qu’un fabricant de téléphones, Xiaomi, viendrait battre Porsche sur son terrain favori, le Nürburgring ?

    En quelques mois à peine, Xiaomi, géant chinois de l’électronique grand public, vient de bouleverser les codes établis de l’industrie automobile avec un chrono extra sur le circuit du Nürburgring… Mais pour bien comprendre la portée de ce coup d’éclat, un rappel chronologique s’impose.

    La SU7, première GT-Sportive électrique signée Xiaomi, est commercialisée en Chine à partir de mars 2024. En parallèle, un prototype bien plus extrême, baptisée SU7 Ultra, (plus puissante, plus allégée et optimisée pour la piste) est testée sur le mythique circuit Allemand dès l’été suivant. Le 28 octobre 2024, un prototype de cette SU7 Ultra boucle le Nürburgring Nordschleife en seulement 6 minutes et 46 secondes… Un temps déconcertant pour les concurrents Allemands, mais réalisé avec un véhicule pas vraiment aux normes… Arceau de sécurité, pneus de compétition et composants spécifiques non disponibles sur la version de série ! En gros, cette version réalise un temps invraisemblable, mais ne fait partie d’aucun championnat, et donc n’a aucune valeur officielle… (en l’occurrence ici, la catégorie est les « Electric Production Cars »)

    Un record sur le Nürburgring, une entrée royale dans la cour des grands pour Xiaomi

    Le véritable record à retenir intervient quelques mois plus tard seulement. Le 1ᵉʳ avril 2025, Xiaomi décroche un nouveau tour de piste avec une SU7 Ultra de série en seulement 7 minutes 04 secondes, cette fois-ci validé dans la catégorie des véhicules de série électriques (ou Electric Production Cars). Un exploit provoquant une onde de choc, car ce chrono ci-dessus, détrône la Porsche Taycan Turbo GT ! (L’ex-reine de la catégorie…) C’est donc à ce moment précis que Xiaomi frappe fort. Une toute jeune marque automobile, dès sa première tentative, vient surpasser un des noms les plus emblématiques sur le Nürburgring. Celui-ci est, depuis toujours, majoritairement dominé par des constructeurs européens et Porsche y règne en maître depuis des décennies comme un symbole national de performance, et de précision.

    Credit : Xiaomi France

    Mais pour parvenir à un tel résultat, Xiaomi n’a pas négligé sur les moyens. La SU7 Ultra embarque plus de 1 500 chevaux répartis sur trois moteurs électriques, mais également des pneus semi-slicks Pirelli, des freins carbone-céramique ainsi qu’un châssis plus affûté que jamais. Des caractéristiques qui font de ce modèle bien plus qu’une simple GT-Sportive : c’est une véritable vitrine technologique qui témoigne de l’ambition Chinoise sur le secteur des hautes performances électriques.

  • Dacora Motors, le néo-rétro électrique à la sauce américaine

    Dacora Motors, le néo-rétro électrique à la sauce américaine

    Une jeune entreprise américaine, Dacora Motors, vient de présenter son premier concept-car néo-rétro inspiré des autos d’entre-deux-guerres modernisé et 100% électrique. 

    S’il y a bien un point sur lequel les passionnés d’automobile, qu’ils roulent aux watts ou à la benzin, arrivent à s’entendre, c’est l’amour des concept-cars. Et celui que Dacora Motors, toute jeune entreprise américaine fondée par Kristie D’Ambrosio-Correll, ingénieure, et son mari Eric, vient de présenter risque bien de mettre tout le monde d’accord. Il allie en effet l’élégance un brin Art déco du design des années 1930 aux performances et standards modernes, en 100% électrique. 

    voiture ancienne électrique dacora motors
    Credit : Dacora Motors

    Un long capot en bois de noyer massif, un habitacle bardé de cadrans analogiques, boutons rétro-éclairés et placages en bois, des courbes vertigineuses et massives façon vieille Cadillac, on se croirait presque dans les rues d’un Chicago gangréné par la mafia en pleine prohibition, mais certains détails techniques et technologiques notamment les écrans et touches haptiques nous ramènent en 2025. Encore à l’état de concept donc, cette grande berline que l’on imagine bien conduite par n’importe quel méchant dans Batman pourrait tout de même, selon Dacora Motors, entrer en production très prochainement. 

    Dacora Motors, 800 chevaux, 600 km d’autonomie et… 500 000 dollars ! 

    Côté motorisation, cette Dacora développe l’équivalent de 800 chevaux et son autonomie annoncée est de 400 miles (643 kilomètres), de quoi parcourir sans recharge, malgré presque trois tonnes sur la balance, la distance entre Los Angeles et Las Vegas. À condition d’avoir encore un peu de monnaie à mettre sur le rouge à la roulette puisque pour s’offrir la Dacora, il faudra débourser 500 000 dollars. À ce prix-là, les propriétaires pourront personnaliser leurs voitures, de la livrée à la couleur des cuirs en passant par les essences de bois. La moindre des choses. 

    véhicule électrique néo rétro dacora motors
    Credit : Dacora Motors

    L’électrique semble avoir donné le tournis aux constructeurs historiques qui, dans l’ensemble, jouent la sécurité avec des designs minimalistes, futuristes et répétitifs, perdant petit à petit leur identité visuelle. Il est donc plutôt rafraîchissant de voir de jeunes pousses comme Dacora Motors débarquer en sens inverse avec une auto au caractère aussi affirmé. Reste à savoir si cela sera suffisant pour faire de l’ombre à Rolls-Royce et sa Spectre électrique à près de 400 000€. Pour ça, il faudrait déjà que la grande berline Dacora passe du concept à la série. Et s’il convient de rester prudent, l’engouement autour de ce type de modèles néo-rétro est très fort et ce ne serait pas surprenant de voir cette première Dacora Motors sortir d’usine en petite série. En effet, selon Kristie et Eric, les précommandes ont déjà dépassé leur capacité de production ! Une chose est sûre, elle sera fabriquée aux États-Unis, le tout accompagné par l’expertise de Pininfarina… Rien que ça !

    intérieur néo rétro voiture electrique
    Credit : Dacora Motors